Colocation
Avec des loyers trop chers pour les locataires et pas assez rentables pour les propriétaires, la colocation, déjà présente chez nous depuis quelques années, semble prendre de l’ampleur. Crise persistante, pouvoir d’achat moindre, contrats de travail plus précaires, et demande accrue de mobilité professionnelle, boostent le marché de la colocation.
Phénomène de société
En France, un jeune de 18 à 24 ans sur trois a déjà vécu en colocation (source : Capital). Plus souvent habitués à vivre en groupe qu’en couple, ces jeunes apprécient vivre en communauté. Ils sont attentifs aux autres, sont en quête de sens et aiment jouir de leur argent. Ils sont moins attachés à posséder leur logement et apprécient la convivialité de la colocation. Une évidence donc pour bon nombre d’entre eux. Phénomène générationnel à la base, il semble toucher aujourd’hui également nos aînés. Population vieillissante et éclatement géographique familial participent à l’évolution. La colocation permet d’éviter la solitude et de rester plus longtemps dans sa maison.
Rentabilité accrue
Alors, quand la rentabilité d’une location n’y est plus, peut-être faut-il s’adapter au marché. Louer une maison de 4 chambres et souvent plus rentable que de la louer à une seule famille. Cela permet aussi de diviser les risques de non paiement et de vide locatif. Il existe des sites internet spécialisés en la matière. Le bien y est non seulement présenté mais aussi les candidats. Certains n’hésitent pas à mettre une photo d’eux plutôt que du bien en avant. Colouer, c’est d’abord savoir vivre ensemble… Les prix y sont généralement inférieurs au marché de la location classique, et les durées de colocation très flexibles, d’où le succès.
Bail et règlement
Mais il ne s’agit pas de signer n’importe quel bail. La loi belge régit la résidence principale. Les modalités de remplacement d’un occupant et les responsabilités de chacun en dépendront. Il sera aussi judicieux de prévoir dans un règlement intérieur les règles de bon fonctionnement des parties communes : entretien de la cuisine, salle-de-bains, évacuation des déchets, etc.
Phénomène de société
En France, un jeune de 18 à 24 ans sur trois a déjà vécu en colocation (source : Capital). Plus souvent habitués à vivre en groupe qu’en couple, ces jeunes apprécient vivre en communauté. Ils sont attentifs aux autres, sont en quête de sens et aiment jouir de leur argent. Ils sont moins attachés à posséder leur logement et apprécient la convivialité de la colocation. Une évidence donc pour bon nombre d’entre eux. Phénomène générationnel à la base, il semble toucher aujourd’hui également nos aînés. Population vieillissante et éclatement géographique familial participent à l’évolution. La colocation permet d’éviter la solitude et de rester plus longtemps dans sa maison.
Rentabilité accrue
Alors, quand la rentabilité d’une location n’y est plus, peut-être faut-il s’adapter au marché. Louer une maison de 4 chambres et souvent plus rentable que de la louer à une seule famille. Cela permet aussi de diviser les risques de non paiement et de vide locatif. Il existe des sites internet spécialisés en la matière. Le bien y est non seulement présenté mais aussi les candidats. Certains n’hésitent pas à mettre une photo d’eux plutôt que du bien en avant. Colouer, c’est d’abord savoir vivre ensemble… Les prix y sont généralement inférieurs au marché de la location classique, et les durées de colocation très flexibles, d’où le succès.
Bail et règlement
Mais il ne s’agit pas de signer n’importe quel bail. La loi belge régit la résidence principale. Les modalités de remplacement d’un occupant et les responsabilités de chacun en dépendront. Il sera aussi judicieux de prévoir dans un règlement intérieur les règles de bon fonctionnement des parties communes : entretien de la cuisine, salle-de-bains, évacuation des déchets, etc.